« Le monstre apparaît comme désordonné, privé de mesure, évoquant la période d’avant la création de l’ordre »


 À l’origine, une pile de textes raturés et de nombreuses mélodies incertaines.
 « Arrosoir à salade, salopette de campagne, déclamations fumeuses, blessures suintantes, chocolat chaud, ordures cristallines, baisers prêtés, casquette à hélice, casserole tout court, cœurs d’artichauts, bouillon d’utopie... »


 Les monstres naissent de la voix de Robin et de l’accordéon de Léa, rapidement rejoints par la contrebasse de Christos et la batterie de Mathias, en 2009.
 L’accordéon se métamorphose alors en piano. Des roues lui seront greffées afin qu’il continue sa route.
 Doucement mais sûrement, ces quatre monstres se construisent, se cherchent, s’effraient, dialoguent, divaguent, se rattrapent et poursuivent de plus belle leur chemin.


 Tantôt cabaret, tantôt chanson, leur spectacle se balance entre hip hop, jazz et théâtre.